Vous connaissez le rosebud ?
C'est un bijou d'anus.
La première fois que j'en ai vu un c'était au musée de l'érotisme, à paris, ils en ont une petite collection et ils en vendent également.
Je ne suis pas vraiment attiré par ce genre de truc. porter un plug à longueure de journée c'est vraiment pas mon truc ! Mais j'ai une amie qui rafole de sex toys et qui n'hésite pas à faire plein d'expériences diverses,je lui ai donc passé un coup de fil pour lui demander si elle connaissait. Evidemment elle connait depuis un bail, fait l'étonnée que je le découvre qu'aujourd'hui (non mais c'est vrai, je tombre de la dernière pluie) et me raconte qu'elle l'a essayé la première fois pour changer un peu de son petit butt plug.

Elle m'explique que le butt plug, c'est sympa, mais gonflant à la longue, même petit ça reste volumineux pour un port permanent, surtout quand on bosse, alors elle en a commandé un pour voir et à trouvé ça plutôt sympa.
Ce qui est bien, me dit-elle c'est qu'il en existe plusieures tailles, que ça s'enlève super facilement, et que ça reste discret dans un sac à main.
Alors je lui demande si ça lui procure des sensations nouvelles et elle me répond que oui, c'est petit mais ça fait son poid, et c'est ça qui fait la différence, ça joue habillement sur les paroies du sphynctère et il lui est arrivé d'avoir un orgasme entre midi et deux, toute seule dans son bureau.

Pour plaisanter je lui demande si c'est meilleurs qu'un doigt dans le cul (oui, je suis parfois un peu lourd) elle me rétorque qu'un doigt dans le cul on ne peut pas faire son marché avec ! Et paf, celle là je ne l'ai pas volé !
Du coup je passe la voir, elle me le montre, et oui, effectivement, ça fait son poid, c'est curieux comme objet, j'ai l'impression d'avoir une balle dans la main (vous savez une balle de fusil, quoi) à cause de son bout tronconique, bien profilé, et puis c'est vrai, c'est décoré comme un bijou.

Un glory hole (anglicisme signifiant littéralement « trou de la gloire ») est un trou pratiqué dans un mur ou une cloison dans le but :

- soit d'observer une personne située de l'autre côté, éventuellement en se masturbant, 
- soit de permettre l'insertion d'un pénis en érection, afin d'avoir un rapport sexuel avec la personne située de l'autre côté (masturbation, fellation, pénétration vaginale ou anale).

Les particularités du glory hole sont qu'il permet de conserver son anonymat et qu'il assure une séparation physique entre les partenaires.

Il constitue la matérialisation poussée à son paroxysme du fantasme du rapport sexuel sans lendemain avec un inconnu.

Dans une optique de sexualité de groupe, une même cloison peut comporter plusieurs glory holes.

 Étymologie et traduction

L'expression « glory hole » étant un idiotisme, elle est intraduisible.

Son origine exacte reste inconnue, l'expression ayant beaucoup d'autres significations (voir (en) :en:Glory hole ).

Toutefois « glory », qui signifie généralement « gloire », est aussi utilisé dans l'expression argotique « morning glory » pour désigner l'érection du réveil (cf. la chanson d'Oasis). Le glory hole pourrait donc être le « trou de l'érection », le trou dans lequel on insère un pénis en érection.

 Historique

Cette pratique, tout comme l'utilisation de cette expression pour la désigner, sont d'abord apparues dans la communauté gay, avant d'être adoptées plus récemment par les hétérosexuels.

 
Lieux

On trouve ce type de dispositifs dans des établissements réservés aux adultes : sex shops, cinémas, vidéoclubs et librairies spécialisés, clubs échangistes, etc.

Ils sont alors placés sur des cloisons séparant des cabines individuelles (cabines de toilettes, cabines dans lesquelles sont diffusées les vidéos, etc.), ou bien sur des cloisons spécialement prévues à cet effet.

En revanche les trous que l'on peut trouver sur les cloisons de toilettes publiques ont le plus souvent été percés dans le but d'espionner. On trouve toutefois de tels trous servant à des rapports sexuels, mais ils ne sont pas utilisés au hasard : ils sont réputés comme tels et servent de lieux de rendez-vous.

 Risques de cette pratique

Dans la mesure où le partenaire situé de l'autre côté de la cloison, ainsi que son passé sexuel, restent inconnus, le glory hole augmente les risques d'infection par les maladies sexuellement transmissibles, surtout si un préservatif n'est pas utilisé.

De plus, pour les hommes introduisant leur pénis dans un glory hole, il existe un risque qu'une personne située de l'autre côté le leur blesse, notamment en le mordant, que ce soit volontairement ou accidentellement.

En outre, les contours du trou peuvent infliger des abrasions et des lacérations du pénis, particulièrement si la découpe est grossière. Afin d'éviter de tels désagréments, certains établissements proposant des glory holes en ont équipé les bords de surfaces protectrices.

Enfin, si cette pratique est réalisée dans un lieu public (en particulier les toilettes publiques), elle expose ses participants à des poursuites judiciaires, de tels comportements pouvant être considérés comme exhibitionnistes par la loi.

 

Invitation

En raison des risques d'agression ou d'arrestation [↑], et tout simplement par respect de l'étiquette, peu d'hommes souhaitant introduire leur pénis dans un glory hole le font sans y avoir été préalablement invités par une personne située de l'autre côté. Un signal courant pour ce faire est de passer un ou plusieurs doigts dans le trou, le plus souvent l'index que l'on replie vers soi.

Le tête-bêche, que les deux chiffres 6 et 9 accolés symbolisent de manière très parlante, est sans doute la position qui véhicule le plus d'imaginaire, alors que ce n'est pas une position de pénétration, vaginale ou anale. Il consiste, pour un couple, à s'unir, la bouche de l'un contre le sexe de l'autre.

En fait, cette union peut se réaliser dans trois situations différentes : l'homme allongé sur le dos et la femme sur lui, la femme allongée sous l'homme, ou les deux allongés sur le côté. Dans le couple homosexuel, l'échange des places dans les positions à plat ne modifie pas la figure réalisée : ce sont les sensations éprouvées par chacun qui varient.

En plus, après tout, rien n'empêche, en théorie, les plus souples et les plus sportifs d'essayer de réaliser cette figure avec l'homme debout, retenant sa compagne contre lui : mais le commun des mortels agira sagement en se contentant d'y rêver, la difficulté étant grande et le risque d'incident non négligeable…

La grande majorité des gravures représentent l'homme allongé sur le dos, confortablement installé. La femme est à quatre pattes au-dessus de lui, elle se laisse passivement embrasser et caresser, des lèvres et de la langue, ou bien elle recherche, par les mouvements de son bassin, à varier le contact, à le rendre plus précis ou plus fort, à en multiplier les effets en l'intensifiant par le frottement. L'homme a les mains libres pour caresser ses fesses ou ses reins, pour guider ses hanches afin de multiplier les sensations.

La femme embrasse le sexe de l'homme, ou le caresse des lèvres et de la langue, l'introduit un peu, ou beaucoup, dans sa bouche pour une caresse circulaire plus enveloppante. Elle peut rester le visage face au sexe, redressant la verge à la verticale, ou se mettre un peu de biais, le front appuyé, sur le ventre, l'aine, la cuisse de l'homme.

Dans une telle position, l'excitation ressentie par chacun se renforce de celle qu'il procure à l'autre et du caractère provoquant des postures. Mais certaines personnes peuvent penser qu'être attentif au plaisir de l'autre ne permet pas de s'abandonner pleinement au sien : elles préfèrent dissocier le temps du cunnilinctus de celui de la fellation. Tout est question de goût, et le couple doit être assez ouvert pour que chacun puisse demander, et obtenir, le jeu de bouche qui comble sa gourmandise.

Si la position 69 est une position transitoire dans l'hétérosexualité, elle prend une importance marquée dans la sexualité lesbienne grâce à son intimité, son efficacité, et ses caractéristiques.

Cette position permet à chaque partenaire d'être actif et passif dans une position confortable sans difficulté physique. La capacité de cette position de favoriser un rapport intime, mutuelle et prolongée la rend appréciable
Position 69 allongée

Dans cette variété, la femme est allongée sur l’homme, le visage en face de pénis. Elle peut insérer le pénis dans sa bouche. Son bassin est offert au regard masculin. L’homme peut lui offrir du sexe orale ou se contenter de caresses manuelles.

La femme est active dans ce rôle. L’homme est demi actif.

Avantage de cette position

- Position intime, la nudité de la femme est offerte au regard masculin, et mise en scène. Le regard masculin peut accéder à la vulve, au périnée et l’anus.

- La stimulation reçue par l’homme est directe et puissante, mais l’homme ne peut contrôler ni l‘intensité ni la position du pénis

- Bonne stimulation du gland et de sa couronne, mais aussi de frein du pénis. Le méat peut être stimulé par a langue.

- L’éjaculation est peu fréquente dans cette position, la femme contrôle parfaitement la stimulation profitant de la liberté de ses mains.

- L’homme peut accéder au tiers postérieur de la vulve et à l’anus. Le clitoris n’est pas accessible

Inconvénients de cette position

- La nudité de la femme est offerte, mise en scène, la difficulté psychologique est présente en cas de pudeur ou des difficultés avec son image du corps.

- Position impudique selon certains couples.

- Position inconfortable en cas d’obésité

- Impossibilité des mouvements pendant la pratique de sexe orale.

Témoignages :

Dominique :
je suis pas un grand fan, j'ai essayé une fois avec ma copine mais on arrivait pas à nous concentrer sur le plaisir à donner et le plaisir à recevoir de l'autre ! On est est donc vite revenu à se donner du plaisir chaqu'un son tour et c'est pas plus mal !

Jacques :
 je n'ai jamais essayé,et à vrai dire ça ne me tente pas du tout,
je pense qu'on ne peut pas se concentrer sur l'autre et sur son plaisir en meme temps!!

Elodie :
pour faire une fellation je préfère d'autres position,
et j'aime observer mon copain kan il me fait un cunni, ça ajoute à l'exitation!!!

Karine :
Se concentrer uniquement sur le plaisir de l'autre, c'est mon point fort (à mon grand désespoir) alors je ne me suis jamais posée la question de savoir si je vais arriver à me concentrer sur le mien. Pour moi un 69 c'est comme toutes les positions qui n'ont rien à voir avec la masturbation : que du plaisir pour l'autre...

Anne :
le 69 c’est idéal pour moi.
J'adore sucer ! J'aime beaucoup le 69, cette position me met dans un état incroyable

Charlotte :
moi je trouvais pas ça génial mais l'homme de ma vie aimait beaucoup par conséquent on le pratiquait de temps en temps, mais je pense que la première fois c'est normal de pas trop aimer, je trouvais que c'est une horreur, en fait plus tu le fais et plus tu aprends la "technique"!!! Et moi je trouve que plus ton partenaire te fait du bien et plus à ton tour tu veux plus lui en donner, donc le 69 devient alors un grave tripe!! et j'ai remarqué qu'après un 69 ça repart de plus belle, troooop bien lolll!!