Quel joli nom, Soubrette !
La soubrette est un des grands fantasmes masculin, lié à la soif de richesse et de domination.

Selon Freud le fantasme de la soubrette est un de plus rependus et Freud en parlait déjà au début du 20^ième siècle. Il a parlé également pas mal du fantasme de la fessée et de son étonnement de le retrouver si souvent pendant ses consultations.

A partir de ce moment il se posait déjà la question de la fréquence de ce fantasme chez les gens qui ne consultent pas.

La soubrette ne peut  exister dans les milieu bourgeois, assez riche pour en entretenir. Elle est jeune, jolie et innocente, souvent délurée. Elle se prète facilement aux désirs du maitre et s'occupe parfois du déniaisement du fils de la maison.

Elle fait des bétises. Alors on la gronde, on la punie, on lui administre une fessée.

La soubrette fait bander, c'est évident, alors on l'habille de noir et de blanc, on ajuste les tailles, on fait au plus court, au plus exitant. On joue avec elle, on la domine, alors on la convoque dans le cabinet privé ou dans la chambre et on la baise. La soubrette n'étant pas farouche, elle se prète aux moindres désirs, même aux plus humiliants.

La soubrette est définitivement une icône de la littérature BDSM. On la retrouve chez Sade d'ailleurs chez qui il n'est pas rare qu'on en zigouille carrément, mais la Soubrette peu de temps en temps fouetter monsieur ! Elle se prète à tous les jeux...